Contrairement à ses prédécesseurs ( B oorman, F lemyng, H elgeland - pour n'en citer que quelques-uns), S hane B lack n'adapte pas un roman de Richard Stark (Alias D onald W estlake), mais pioche dans l'ensemble du corpus des presque 30 romans que le natif de Brooklyn consacra à Parker . À noter que c'est seulement la seconde fois qu'une histoire originale met en scène Parker . « Play Dirty » a en effet été précédé (de peu) par l'histoire courte de 17 pages intitulée Tomorrow and Tomorrow and Tomorrow écrite par E d B rubaker et dessinée par S ean P hillips ; dans laquelle Parker fait aussi équipe avec Alan Grofield , comme chez B lack. Mais revenons à « Play Dirty » Si S hane B lack imagine une histoire originale, il garde toutefois la formule que W estlake utilisera quasiment tout au long des 26 romans - publiés de 1962 à...
Je ne suis pas ce qu'on peut appeler un fan du personnage. J'ai vu en son temps, et revu depuis, le premier film ; je ne suis jamais allé très loin lorsqu'il débarque à New York dans le deuxième opus de la franchise, et Prey m'a si rapidement ennuyé que je ne l'ai jamais fini. Reste celui de S hane B lack que j'ai revu avec plaisir, mais sûrement parce qu'il s'agit d'un film de S hane B lack. Enfin presque. <sourire> Les autres film, et la majorité des BD, me sont totalement étrangers. Mais « Predator : Le Jour du chasseur » m'a attiré grâce au travail de K ev W alker, et plus étonnamment à cause celui de F rank D ' A rmata ; dont pourtant je goute assez peu la colorisation d'ordinaire. À cela s'est ajouté un scénario plutôt attrayant, dans lequel E d B risson transforme les Predators en proie. Ma méconnaissance du lore de la licence ne m'a pas permis de savoir si cela avai...